Savoie
Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 25/01/2007
| Sujet: Messe suggérée pour le dimanche 15 avril (la poétique) Sam 14 Avr - 23:26 | |
| Les cloches raisonnèrent à nouveau dans l'enceinte de l'église. (((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG)))Un à un, les fidèles prirent place dans la nef de l'église.Savoie s'approcha de l'autel, et prit la parole.Mes amis, nous nous sommes bien amusés, lundi dernier, en la Cathédrale du Mans. Je vous remercie d'être venu en si grand nombre, la cérémonie fut des plus plaisante. Malheureusement, en ces temps lourd où la menace d'une attaque plane sur nous, je vous invite à m'écouter des plus attentivement en ce jour. Mais, avant de vous tenir mon sermon, prenons un temps pour nous recueillir tous ensemble. Prions ensemble cette semaine sur les réflexions Ysupso, dasn la fin des temps. Soit-il ainsi. Savoie se concentra, après la prière, et s'adressa aux fidèles après avoir pris une grande inspiration.Mes amis, Aristote espose, dasn sa Poétique, que devant la représentation des choses laides, la joie de la connaissance l'emporte sur le dégoût qu'elles devraient normalement inspirer. Pourquoi? - Citation :
- parce que comprendre est agréable non seulement aux philosophes mais à tous les autres hommes.
Ce n'est pas qu'un seul plaisir esthétique que donne la représentation. Et la guerre en est toute une. C'est un plaisir, un plaisir de connaissance, quand nous nous en donnons la peine. Allons plus loin ensemble, voulez vous? Interprêtons cette intention qu'Aristote à de nous partager ce désir de la connaissance. Le terme "juste", est l'adjectif de justesse et de justice. Aristote nous dit que s'il y a une vérité littéraire, que la phrase déploie dans l'ajustement parfait de la vision et de l'expression, cette justesse-là doit nous aider à vivre : le texte ne se limite pas aux figures littéraires obtenues par le poète. Il lui faut passer à un autre ordre, par où le lecteur va le faire sien et le transformer en oeuvre - en action sur le monde. Le texte devient alors une expérience du monde pour celui qui le lit: alors, ses figures prennent effet, et voici que se déploie l'ordre de la vision et de la compréhension. Grâce au livre, le monde prend sens. Mes amis, ce plaisir vous est accessible, que vous sachiez lire ou non. On ne lit pas que les mots. On doit également ainsi lire le monde, et les évènements. Voyez la guerre comme un texte. Et, par désir de vous approcher de la vertu, faites comme Aristote nous enseigne. De cette manière, répondons ensemble à l'appel que nous lance aujourd'hui notre archevêque, que je vous lit, avec les mots écris de sa main. - Childebert 1er a écrit:
A tous, fidèles de l'Eglise Aristotélicienne du Maine,
C'est avec une grande émotion que je m'adresse aujourd'hui à vous. En effet, beaucoup d'entre vous désire voir arrêter la guerre. Nous nous sommes réunies à Tours son Eminence Anguillerusée, Monseigneur Savoie, Monseigneur JanDeBoheme, Monseigneur Gloth et moi même, afin de discuter comment nous pourrions agir pour retrouver la Paix dans notre archevêché. Les Comtes et Ducs n'ont même pas daignés répondent à notre invitation. Le dernier jour de la Table Ronde, alors que nous cherchions encore une solution, Monseigneur Savoie nous apporta la réponse. Une solution toute simple qui vient de la diaconesse de Mayenne, Cléopitre.
Je demande à vous chers fidèles de l'Eglise Aristotélicienne qui refusez la guerre et de mettre en votre signature la lueur d'espoir.Allumez cette bougie pour dire oui à la Paix.
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Childebert de Béarn dit le Digne Archevêque de Tours
Ainsi, comprenons le sens de la guerre comme de nous révéler notre ardent désir de voir la paix s'instaurer en notre monde. Sus aux militaires. Sus aux bretons qui veulent s'imposer chez nous. Sus aux français qui veulent s'imposer chez les autres. La guerre est nécessaire quant il s'agit de se défendre. Mais jamais lorsqu'il s'agit d'attaquer. Et si guerre doit-il y avoir, alors, qu'elle se face en accord avec nos principes fondamentaux. Je vous invite donc à installer, tous et chacun de vous, ce cierge ici, dans cette église, mais aussi chez vous, et même de le transporter avec vous (lire:mettre en signature^^). Peut-être ainsi demain, la semaine prochaine, ou dans un mois, notre monde sera-t-il un peu meilleur... Mes amis, sur ce, je vous invite à célébrer le pain de l'amitié... Puis, on entendit à nouveau les cloches de l'église sonner... (((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG))) | |
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